Manteau à capuchon, fait à partir d’une couverture de laine, à la mode d’une redingote du 19 ième siècle. Les manchettes et le capuchon sont d’une étoffe de laine noire. Les bordures du manteau, y compris les manchettes et le capuchon, sont bordés d’une étroite bande d’étoffe de laine rouge (galon de lama). Deux rosettes de gallon de lama sont fixées au centre au dos.
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Vous pourriez également porter une ceinture avec cette capote.
Consultez le Beaver Index - p.ex., premier numéro, october 1920.
Did
You Know?
Cette capote fut confectionnée expressément pour les célébrations du 250 ième anniversaire de la Compagnie qui eurent lieu en 1920.
L’expression capote servait originalement à décrire un nombre de manteaux, mais au fil du temps, elle s’identifia au manteau capuchonné façonné d’une couverture dont faisaient usage les commerçants de fourrure Européens et les traiteurs Aborigènes.
Ces manteaux étaient chauds, résistants, commodes et d’une aise à tailler et à coudre.
Les Compagnies du Nord-Ouest et de la Baie d’Hudson ont les deux échangées des capotes. Des capotes de couvertes blanches étaient souvent employées en hiver par les chasseurs pour leur effet de camouflage dans la neige. Elles étaient souvent portées en combinaison avec des mitasses en étoffe de couverte de laine blanche fixées à la jambe avec une jarretière ornementale. Les mitasses couvraient la jambe du haut du genoux jusqu’à la cheville.
Les Métis résidant à la Rivière Rouge au Manitoba actuel ont été décrit dans les dossiers historiques comme étant vêtus de capotes bleu ciel ou bleu fonçé attachées à la taille d’une ceinture fléchée rouge.
