|
|
|
|
>>
>>
>> Artefacts
La croissance et le succès du commerce de la fourrure dépendent des hommes et des femmes des Premières nations et de la nation métisse, alors que la concurrence entre la CBH et la Compagnie du Nord Ouest ouvre la porte à une nouvelle ère.
Piège à ressort en acier conçu pour immobiliser et capturer des animaux en saisissant avec vigeur leurs corps, tête, pattes ou pieds lorsqu’ils s’y engagent.
Le piège provient d’une usine comme l’indique le marquage sur le bassinet, « Oneida Jump Animal Trap Co. Lititz, PA/Reg. U.S. Pat. Off. Fait aux U.S.A./14. » Le nombre « 14 » renvoi aux dimensions du piège.
Ce piège servait à attraper castor, loup, coyote, puma et autres animaux à fourrure d’importance.
Other
Related Material Pour en savoir davantage sur la trappe - entrez «trappe» dans la case de recherche à gauche.
Lisez ce que disaientJames Isham et Thomas McCliesh au sujet des martes.
Consultez le Beaver Index - par ex., Satisfied Trappers [British Columbia District], par Neil M. Lindsey, juin 1926, p.120.
|
Did
You Know? Les chasseurs indigènes avaient leurs propres méthodes traditionnelles pour capturer des animaux en utilisant une variété de pièges y compris des collets et des assommoirs. La traite commerciale en pelleterie fut responsable de l’introduction de pièges en métal en Amérique du Nord.
Par la fin du 17ième siècle, la Compagnie de la Baie d’Hudson encourageait sa main-d'œuvre en différents postes à piéger le renard, la martre et autres petits animaux à fourrure. Aussi, par ce temps, les traiteurs Aborigènes apprenaient l’usage des pièges en acier.
En 1851, il se passa une révolution dans la fabrication de pièges en acier. Les pièces faites à la main par les forgerons du pays dans les postes étaient remplacées par des versions fabriquées en série avec le concours de machines.
Cette transformation augmenta le nombre de pièges en acier disponibles. La majorité de ceux échangés avec les chasseurs Aborigènes servirent à prendre des animaux à fourrure. |
|
|