Bon nombre de lieux et de régions du Canada ont une importance historique qui remonte au commerce de la fourrure et à la nation métisse. La géographie a également influencé la façon dont s'est développé le commerce de la fourrure.
Modèle d’un carriole fait de bois et de peaux d’animaux tannées et fumées par les autochtones. La section dite traîneau était fabriquée de bois et le dos et les côtés étaient construits à partir de peaux.
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Consultez le Beaver Index - e.g., My First Experience of Camp Fire and Cariole, par Augusta M. Harding, mars 1925.
Did
You Know? L’expression « carriole » faisait tout d’abord référence à un type de traîneau tiré par des chevaux, plus particulièrement un traîneau léger ouvert utilisé au Québec. Ils étaient parfois tirés par des chiens.
Durant l’époque du commerce de la fourrure, l’expression « carriole » à généralement signifié un traîneau ressemblant à une traîne sauvage avec des bords faits de peaux d’animaux ou de canevas. Des planches en bouleau ont souvent servie pour la section dite traîneau.
Tirée par une équipe de chiens, la carriole transportait un passager ou de la cargaison. Le conducteur de l’équipe de chiens courrait derrière la carriole quand celle-ci était mobile, en criant des commandes aux chiens afin de mener leur allure et les diriger. Les trappeurs et les traiteurs se servaient des carrioles pendant les mois d’hiver pour assurer le transport des approvisionnements et des fourrures.