Le commerce de la fourrure   Conseils pour les enseignants
  In English
Acceuil  |  Période préeuropéenne jusqu’en 1600  |  De 1600 à 1867  |  De 1867 à aujourd’hui
  Identité, culture et communauté
  La terre : lieux et personnes
  Liens historiques
  Pouvoir et autorité
  Économie et ressources
  Interdépendance mondiale

Recherche sur l’ensemble du site
Recherche pour cette période seulement
 
  De 1867 à aujourd’hui
Acceuil >> De 1867 à aujourd’hui >> Identité, culture et communauté >> Artefacts

Vie quotidienne et difficultés des divers groupes participant au commerce de la fourrure.


Image 1
 
 
Creator: Dene; Western Subarctic; Northwest Territories
Year made: Early 20th Century
Dimensions: 26 cm long; 4.3 cm wide; 6 cm wide
Location: The Manitoba Museum; Artifact HBC 78-8
Copyright Holder: The Manitoba Museum


(M20) Carriole déné, maquette

Modèle d’un carriole fait de bois et de peaux d’animaux tannées et fumées par les autochtones. La section dite traîneau était fabriquée de bois et le dos et les côtés étaient construits à partir de peaux.

Other Related Material
Pour en savoir davantage sur les carrioles ou les traîneaux - entrez «traîneau» ou «carriole» dans la case de recherche à gauche.

Consultez le Beaver Index - e.g., My First Experience of Camp Fire and Cariole, par Augusta M. Harding, mars 1925.

Did You Know?
L’expression « carriole » faisait tout d’abord référence à un type de traîneau tiré par des chevaux, plus particulièrement un traîneau léger ouvert utilisé au Québec. Ils étaient parfois tirés par des chiens.

Durant l’époque du commerce de la fourrure, l’expression « carriole » à généralement signifié un traîneau ressemblant à une traîne sauvage avec des bords faits de peaux d’animaux ou de canevas. Des planches en bouleau ont souvent servie pour la section dite traîneau.

Tirée par une équipe de chiens, la carriole transportait un passager ou de la cargaison. Le conducteur de l’équipe de chiens courrait derrière la carriole quand celle-ci était mobile, en criant des commandes aux chiens afin de mener leur allure et les diriger. Les trappeurs et les traiteurs se servaient des carrioles pendant les mois d’hiver pour assurer le transport des approvisionnements et des fourrures.