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>> Articles, journaux, publications éphémères
Vie quotidienne et difficultés des divers groupes participant au commerce de la fourrure.
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Author: |
Letitia Hargrave |
Title: |
The Letters of Letitia Hargrave |
Publisher: |
The Champlain Society, Toronto |
Year Published: |
1947 |
Copyright Holder: |
The Champlain Society |
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Letitia Hargrave, née MacTavish (1813-1854), était la fille du shérif Dugald MacTavish et de Letitia Lockhart. En 1840, elle épouse James Hargrave, négociant en chef pour la CBH, et quitte l’Écosse pour York Factory.
Les lettres que Letitia écrit à sa famille et ses amis nous proposent des observations sur la vie qui diffèrent de ce que l’on trouve dans les journaux de poste de cette époque, écrits par des hommes.
Sa correspondance est également reconnue pour son importance, puisqu’il s’agit d’une des premières écrites par une femme pionnière de l’ouest du Canada, dans l’univers du commerce de la fourrure.
Dans ses lettres, on peut la voir se transformer d’une jeune fille naïve et souffrant du mal de mer à une observatrice aguerrie et sagace de la vie de commerçant de fourrure.
1840. Cette lettre à sa mère décrit un repas à York Factory. P61, 1er paragraphe : « The usual dinner… after dinner. »
« Le repas habituel pour notre mess, c’est-à-dire les trois dames et moi-même, comprend un rôti de gibier, trois oies, quatre canards d’un côté, six pluviers de l’autre, un gros jambon de la rivière Rouge (tout une cuisse), des pommes de terre et des navets en purée, ou de la laitue bouillie. Pour la verdure, lorsque l’on a du bouillon, on y fait bouillir de la laitue, un plat fort amer. On mange des radis et de la laitue après le repas. »
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À quoi ressemblait Letitia Hargrave?
Consultez le Beaver Index - p. ex., entrez femme, enfants, santé, etc.
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Did
You Know?
Même si les belles robes à la mode de Londres de Letitia Hargrave faisaient sensation à York Factory, elle les portait généralement avec des jambières et des mocassins cris.
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